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Le saviez-vous ? Les premiers pots à bière furent munis de couvercles dès le XIVe siècle afin de protéger la boisson pendant les épidémies de peste et les pots devinrent ainsi... des chopes !
Plus tard, l'hygiène laissa place au plaisir : on conserva les couvercles car ils permettaient de conserver la bière dans la chope à une température constante et, pour ceux qui buvaient leur pinte lentement, d'éviter que le produit ne s'évente.
Enfin, au XIXe siècle, apparurent les chopes en verre et les couvercles en étain au décor richement ciselé pour le plus grand plaisir des collectionneurs et des riches amateurs.Aujourd'hui, laisser le couvercle de sa chope ouvert permet de signaler que son verre est vide ! Patron, remettez-nous çà !
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J’ai pardonné des erreurs presque impardonnables,
j’ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables.
J’ai agi par impulsion, j’ai été déçu par des gens que j’en croyais incapables,
mais j’ai déçu des gens aussi. J’ai tenu quelqu’un dans mes bras pour le protéger
J’ai ri quand il ne fallait pas
Je me suis fait des amis éternels
J’ai aimé et l’ai été en retour, mais j’ai aussi été repoussé
J’ai été aimé et je n’ai pas su aimerJ’ai crié et sauté de tant de joies,
j’ai vécu d’amour et fait des promesses éternelles,
mais je me suis brisé le coeur, tant de fois !J’ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos
J’ai téléphoné juste pour entendre une voix,
je suis déjà tombé amoureux d’un sourireJ’ai déjà cru mourir par tant de nostalgie et…
…J’ai eu peur de perdre quelqu’un de très spécial (que j’ai fini par perdre)…
Mais j’ai survécu !Et je vis encore ! Et la vie, je ne m’en passe pas …
Et toi non plus tu ne devrais pas t’en passer. Vis !!!Ce qui est vraiment bon, c’est de se battre avec persuasion,
embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant,
parce que le monde appartient à celui qui oseET LA VIE C’EST BEAUCOUP TROP pour être insignifiante !
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Les mots exacts pour le dire
Je vous en prie, ne me demandez pas si j'ai réussi à le surmonter,
Je ne le surmonterai jamais.
Je vous en prie, ne me dites pas qu'il est mieux là où il est maintenant,
Il n'est pas ici auprès de moi.
Je vous en prie, ne me dites pas qu'il ne souffre plus,
Je n'ai toujours pas accepté qu'il ait dû souffrir.
Je vous en prie, ne me dites pas que vous savez ce que je ressens,
...................................................................................
Je vous en prie, ne me demandez pas de guérir,
Le deuil n'est pas une maladie dont on peut se débarrasser.
Je vous en prie, ne me dites pas
« Au moins vous l'avez eu pendant tel nombre d'années »,
Je vous en prie, ne me dites pas que Dieu n'inflige pas plus que ce que l'homme peut supporter.
Je vous en prie, dites-moi simplement que vous êtes désolés.
Je vous en prie, dites-moi simplement que vous vous souvenez ....
si vous vous rappelez de lui. ....
Je vous en prie, laissez-moi simplement parler de mon PAPA
Je vous en prie, ....
Je vous en prie, laissez-moi simplement pleurer.
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Par PRALINES1 dans Histoire émouvante - "L'histoire de la boite à baisers " le 13 Décembre 2011 à 22:14
"L'histoire de la boite à baisers "
" Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fillette de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré. L'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette utilise le papier pour décorer une boite à cadeau pour occuper le dessous de l'arbre de Noël. Le lendemain matin, la petite enfant apporta le cadeau à son père en lui disant : "C'est pour toi Papa ! ".
Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction. Toutefois, elle se raviva et ne fit qu'empirer quand il découvrit que la boite était vide. Il cria alors à sa fille "Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet-cadeau, il doit toujours y avoir quelque chose dans la boite? ". La fillette regarda son père les yeux pleins d'eau et lui dit: Mais papa, la boite n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi!!". Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner sa réaction.
Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette. Le père garda longtemps la boite, tout près de son lit. A chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boite, en tirait un baiser imaginaire et se rappelait l'amour que l'enfant y avait mis.
Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun
de nous, comme humain, de disposer d'une telle boite dorée, remplie d'amour inconditionnel et de baisers de nos enfants, de nos ami(e)s, de notre famille ou de Dieu. Existe-t-il de plus grands cadeaux ?
SourSSOURCEce: Anonyme....www.lespasseurs.com
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