•  

    Un jeune couple venait de s'installer dans un nouveau quartier. Le lendemain matin au moment où le couple prenait le petit déjeûner, la femme aperçut dehors la voisine qui étendait son linge sur un séchoir.

    "Quel linge sale" dit-elle, "elle ne sait pas laver ! Peut-être a t-elle besoin d'une nouvelle lessive pour laver son linge !"

    Son mari regarde la scène... mais garda le silence.

    C'était le même commentaire chaque fois que la voisine étendait son linge, dehors, sur le séchoir.

    Après un moi, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari :
    "Regarde ! Elle a appris à laver son linge maintenant ! Qui le lui a enseigné ?"

    Le mari répondit :
    "PERSONNE.
    Je me suis levé tôt ce matin et j'ai lavé les vitres de notre fenêtre..."

    Ainsi la vie... TOUT dépend de la propreté de la fenêtre A TRAVERS LAQUELLE VOUS OBSERVEZ LES FAITS.

    AVANT DE CRITIQUER, vérifiez la qualité de votre regard.

    Alors vous pouvez voir avec clarté la limpidité du coeur des autres.


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  • LECON DE MORALE : Les gros cailloux de la vie !

    Les gros cailloux de la vie !


    Un jour, un vieux professeur de l'École nationale d'administration
    publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur La
    planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de
    dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours
    constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le
    vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière ".

    Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que
    l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un,
    lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".

    De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof
    sortit un immense pot Mason d'un gallon (pot de verre de plus de 4
    litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit
    environ une douzaine de cailloux a peu près gros comme des balles de
    tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot.
    Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y
    ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves

    et leur demanda :

    "Est-ce que ce pot est plein?".

    Tous répondirent : "Oui".

    Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment?".

    Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient

    rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros
    cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier
    s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.

    Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda
    : "Est-ce que ce pot est plein?". Cette fois, ses brillants élèves
    commençaient à comprendre son manège.

    L'un d'eux répondît: "Probablement pas!".

    "Bien!" répondit le vieux prof.

    Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une
    chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le
    sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier.
    Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein?".

    Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves
    répondirent :

    "Non!".

    "Bien!" répondît le vieux prof.

    Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet
    d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le
    vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle
    grande vérité nous démontre cette expérience? "

    Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours,
    répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda
    est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter
    plus de rendez-vous, plus de choses à faire ".

    "Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que
    nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les
    gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire
    entrer tous ensuite". Il y eut un profond silence, chacun prenant
    conscience de l'évidence de ces propos.

    Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans
    votre vie?"
    "Votre santé?"
    "Votre famille?"
    "Vos ami(e)s?"
    "Réaliser vos rêves?"
    "Faire ce que vous aimez?"
    "Apprendre?"
    "Défendre une cause?"
    "Relaxer?"
    "Prendre le temps...?"
    "Ou... toute autre chose?"

    "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX
    en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir...sa vie. Si
    on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira
    sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux
    à consacrer aux éléments importants de sa vie.

    Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question :
    "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?"
    Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)"
    D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire
    et lentement quitta la salle.


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  •  le grillon


    Un amérindien et son ami, en visite au centre ville de New York, marchaient près de Times Square dans Manhattan. C'était durant l'heure du lunch et les rues étaient bondées de monde. Les autos klaxonnaient de plus belle, les autos taxi faissaient crisser leurs pneus sur les coins de rue, les sirènes hurlaient et les bruits de la ville rendaient presque sourd. Soudain, l'amérindien dit, "j'entends un grillon."
    Son ami répondit, "Quoi? Tu dois être fou. Tu ne pourrais jamais entendre un grillon au milieu de tout ce vacarme!"

    "Non, j'en suis sûr," dit l'amérindien, "j'entends un grillon."

    "C'est fou," dit l'ami.

    L'amérindien écouta attentivement pendant un moment, puis traversa la rue jusqu'à un gros planteur en ciment où poussaient quelques arbustes. Il regarda à l'intérieur des arbustes, sous les branches et avec assurance il localisa un petit grillon. Son ami était complètement stupéfait.

    "C'est incroyable," dit son ami. "Tu dois avoir des oreilles super-humaines !"

    "Non," répondit l'amérindien. "Mes oreilles ne sont pas différentes des tiennes. Tout ça dépend de ce que tu cherches à entendre."

    "Mais ça ne se peut pas !" dit l'ami. "Je ne pourrais jamais entendre un grillon dans ce bruit."

    "Oui, c'est vrai," repliqua l'amérindien. "Ça dépend de ce qui est vraiment important pour toi. Tiens, laisse-moi te le démontrer."

    Il fouilla dans sa poche, en retira quelques sous et discrètement les jeta sur le trottoir. Et alors, malgré le bruit de la rue bondée de monde retentissant encore dans leurs oreilles, ils remarquèrent que toutes les têtes, jusqu'à une distance de sept mêtres d'eux, se tournaient et regardaient pour voir si la monnaie qui tintait sur le pavement était la leur.

    "Tu vois ce que je veux dire?" demanda l'amérindien. "Tout ça dépend de ce qui est important pour toi."


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  • Les deux grenouilles

    Un groupe de grenouilles voyageaient à travers les bois quand deux d'entre elles tombèrent dans un trou profond.

    Quand les autres grenouilles virent jusqu'à quel point le trou était profond, elles dirent
    aux deux grenouilles qu'elles étaient pratiquement mortes.

    Les deux grenouilles ignorèrent les commentaires et essayèrent de toutes leurs forces de sauter en dehors du trou. Les autres grenouilles continuèrent de leur dire d'arrêter et qu'ellesétaient à tout compte fait mortes.
    Finalement, une des deux grenouilles tint compte de ce que les autres grenouilles disaient et abandonna la lutte.
    Elle tomba et mourut.

    L'autre grenouille continua de sauter aussi fort qu'elle le pouvait. Une fois de plus,
    la foule des grenouilles lui hurla d'arrêter de souffrir et de se laisser mourir.
    Elle sauta encore plus fort et finalement
    réussit à se sortir du trou.

    Quand elle y parvint, les autres grenouilles lui dirent :

    "Est-ce que tu nous entendais?"

    La grenouille expliqua qu'elle était sourde. Elle pensait tout le temps que les grenouilles étaient en train de l'encourager.


    Cette histoire enseigne deux leçons:

    1. La langue a un pouvoir de vie et de mort. Un mot d'encouragement envers
    quelqu'un qui se sent abattu peut le relever et lui permettre de passer à
    travers la journée.

    2. Une parole destructrice envers quelqu'un qui se sent abattu peut avoir
    un effet dévastateur et le tuer.

    Faites attention à ce que vous dites. Parlez positivement à ceux qui croisent votre sentier.
    Le pouvoir des mots...
    C'est parfois difficile à comprendre qu'un mot d'encouragement puisse faire autant de chemin.
    Tout le monde peut dire des paroles capables d'enlever à un autre le courage de
    continuer dans des moments difficiles.

    Celui qui prend le temps d'encourager un autre est un individu spécial.


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  • LES TROIS VIEILLARDS

    Un jour, une femme sort de sa maison et voit 3 vieillards
    avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle.

    Elle ne les reconnaît pas.
    Elle leur dit "Je ne pense pas que je vous connaisse,
    mais vous devez avoir faim, s'il vous plaît,
    entrez et je vous donnerai quelque chose à manger."

    "Est-ce que l'homme de la maison est là ?" ont-ils demandé.
    "Non, il est sorti" leur répondit-elle.
    "Alors nous ne pouvons pas entrer" ont-ils répondu.

    En soirée, lorsque son mari arrive à la maison,
    elle lui raconte ce qui s'était passé.

    "Va leur dire que je suis à la maison et invite-les
    à entrer !" dit-il à sa femme.
    La femme sort et invite les hommes à entrer dans
    la maison.
    "Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison,"
    ont-ils répondu.
    "Et pourquoi ?" a-t-elle voulu savoir.
    Un des vieillards lui expliqua :
    "Son nom est Richesse," dit-il en montrant
    un de ses amis et, en indiquant l'autre,
    "Lui c'est Succès et moi je suis Amour."
    Il a alors ajouté, "Retourne à la maison et
    discute avec ton mari pour savoir lequel
    d'entre nous vous voulez dans votre maison."

    La femme retourne à la maison et dit à son mari
    ce qui avait été dit. Son mari était ravi.

    "Comme c'est agréable!!", dit-il.
    "Puisque c'est le cas, nous allons inviter Richesse.
    Sa femme n'était pas d'accord.
    "Mon cher, pourquoi n'inviterions-nous pas Succès ?"

    Leur belle-fille, qui était dans une autre pièce,
    entendit leur conversation, elle sauta sur l'occasion
    pour faire sa propre suggestion.

    "Ne serait-il pas mieux d'inviter Amour ?
    La maison sera alors remplie d'amour!"

    "Tenons compte du conseil de notre belle-fille"
    dit le mari à sa femme.
    "Sors et invite Amour à être notre invité."

    La femme sort et demande aux 3 vieillards,
    "Lequel d'entre vous est Amour? "
    Elle lui dit:"S'il vous plaît entre et sois notre invité."
    Amour se lève et commença à marcher vers la maison.
    Les 2 autres se levèrent aussi et le suivirent.

    Étonnée, la dame demande à Richesse et Succès :
    "J'ai seulement invité Amour. Pourquoi venez-vous aussi?"
    Les vieillards lui répondirent ensemble :
    "Si vous aviez invité Richesse ou Succès,
    les deux autres d'entre nous serions restés dehors,
    mais puisque vous avez invité "Amour", partout où il
    va, nous allons avec lui, puisque partout où il
    y a de l'Amour, il y a aussi
    de la Richesse et du Succès !!!!


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  •  

    Une fille aveugle se détestait tellement à cause de son handicap.
     Elle haïssait tout le monde sauf un garçon qui était son ami.
     Il était toujours là pour elle.
     

    Un jour, elle lui dit « Si seulement je pouvais voir le monde, je me marierais avec toi. »

     
    Un jour, quelqu'un lui a fait don de ses yeux, un donneur anonyme.
     Quand les bandages furent enlevés, elle pouvait tout voir, ainsi que son ami. 

    Il lui dit, «Maintenant que tu peux voir le monde, veux-tu m'épouser?»

      

     

     


     La fille le regarda et vit qu'il était aveugle. La vue de ses paupières fermées la bouleversa. Elle ne s'attendait pas à ça. La pensée de le voir ainsi pour le reste de sa vie ne lui plut pas et elle refusa de l'épouser. Son ami la quitta en pleurs. 

     
    Quelques jours plus tard, il lui fit parvenir une note qui disait :

     

     «Prends bien soin de tes yeux, ma chérie, car avant qu'ils deviennent
     les tiens, ils étaient miens.» 

     


     


     
    Moralité ?????

     
     Très peu de personnes se rappellent de leur passé et des gens de leur entourage familial ou amical qui

     les ont soutenus dans les situations difficiles et douloureuses


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