-
Par PRALINES1 le 1 Mai 2010 à 23:06
L'image représente l'opération d'un enfant dénommé Samuel Armas, le 19 août 1999, atteint d'un mal rare, la spina bifida. L'enfant est né sain le 2 décembre 1999.“Quand l'opération a commencé, les médecins ont fait une petite incision dans l'abdomen pour accéder à l'utérus qu'ils ont sorti et placé sur la mère. Une autre incision a alors été pratiquée sur l'utérus lui-même, mais le fœtus est demeuré à l'intérieur pendant l'opération. C'est alors qu'un miracle s'est produit. Alors que le chirurgien terminait l'opération.Personne à ce moment-là ne touchait à l'utérus mais il bougeait. Tout à coup, l'enfant a sorti un bras à l'extérieur, puis l'a rentré, ne laissant sortie qu'une minuscule main.Le médecin s'est penché sur le fœtus et a soulevé la petite main. Samuel Alexander a alors attrapé le doigt du chirurgien. Celui-ci a secoué gentiment son doigt et le bébé l'a serré très fermement. Puis la main s'est retirée à l'intérieur et le médecin a commencé à coudre l'incision pour fermer l'utérus et compléter l'opération.
votre commentaire -
Par PRALINES1 le 1 Mai 2010 à 11:26
Une souris regardait un jour à travers un trou dans un mur. Elle vit un paysan et sa femme en train de déballer un paquet. Quelle nourriture pouvait-il bien contenir ? Mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir qu'il s'agissait d'une trappe à souris. Fuyant vers l'arrière de la ferme, la souris criait de tous côtés : « il y a une trappe à souris dans la maison, une trappe à souris dans la maison ! ». Le poulet leva la tête, se gratta et dit : « excusez-moi, Madame Souris, je me rends bien compte que c'est une grande inquiétude pour vous, mais cela ne me regarde pas. Que voulez-vous que j'en fasse ? ». La souris se tourna alors vers le cochon. « Oh, je suis désolé Madame Souris, la seule chose que je peux faire pour vous est de prier. Soyez assurée que je vous porte dans mes prières ». La souris se tourna enfin vers le bœuf. Celui-ci se moquait de la souris : « Oh là là, Madame Souris, mais c'est terrible, une trappe à souris ! Mais je suis gravement en danger, n'est-ce pas ? ». Finalement, la souris se décida d'affronter la trappe à souris seule. Dans la nuit, on entendit un bruit dans la maison qui ressemblait à celui d'une trappe à souris se refermant sur une souris. La femme du paysan s'en alla voir ce qui avait été pris. Dans la nuit, elle ne vit malheureusement pas le serpent venimeux dont le bout de la queue avait été pris dans la trappe. Le serpent mordit la femme du paysan. On dut partir à l'hôpital. La femme revint avec de la fièvre. Or, comme tout le monde le sait, il est fortement conseillé de faire boire à quelqu'un qui a de la fièvre une bonne soupe au poulet. Le paysan prit donc sa hache et coupa le cou du poulet. Malheureusement, la maladie continua et beaucoup de gens vinrent pour garder la malade. Le paysan dut tuer son cochon pour nourrir tout le monde. Finalement, la femme mourut et le paysan dut abattre son bœuf pour nourrir les personnes venues pour l'enterrement.
Ainsi donc, la prochaine fois que vous entendrez dire qu'une de vos connaissances est aux prises avec un problème qui ne vous concerne pas, souvenez-vous de la trappe à souris. Lorsqu'un des nôtres est menacé, nous sommes tous en danger. Nous sommes tous impliqués dans ce voyage qu'on appelle la vie. Ayons l'oeil ouvert sur nos proches et faisons un effort pour nous encourager mutuellement.
Auteur inconnu
votre commentaire -
Par PRALINES1 le 1 Mai 2010 à 11:15
Comme toujours la veille de Noël, le roi convia le Premier ministre à une promenade. Il lui plaisait de voir comment on décorait les rues. Mais pour éviter que les sujets ne fassent des dépenses exagérées pour lui être agréables, ils se déguisaient toujours en commerçants venus de lointains pays.
Ils marchèrent dans le centre, admirant les guirlandes lumineuses, les sapins, les bougies allumées sur les marches des maisons, les baraques où l’on vendait des cadeaux, les hommes, les femmes et les enfants qui se pressaient d’aller rejoindre leurs parents pour fêter cette nuit autour d’une table bien garnie.
Sur le chemin du retour, ils traversèrent le quartier le plus pauvre ; l’ambiance y était tout à fait différente. Pas question de lumières, de bougies, ni de l’odeur délicieuse de la nourriture bientôt servie. On ne voyait personne ou presque dans la rue, et comme il le faisait tous les ans, le roi fit observer au Premier ministre qu’il devrait être plus attentif aux pauvres de son royaume. Le ministre acquiesça de la tête, sachant que sous peu le sujet serait de nouveau oublié, enterré sous la bureaucratie quotidienne, l’approbation des budgets, les discussions avec des dignitaires étrangers.
Soudain, ils remarquèrent que l’une des maisons les plus pauvres venait le son d’une musique. L’habitation, de construction sommaire, avait plusieurs fentes entre ses planches pourries, leur permettant de voir ce qui se passait à l’intérieur. C’était une scène totalement absurde : un vieux dans une chaise roulante qui paraissait pleurer, une jeune fille complètement chauve qui dansait, et un garçon au regard triste qui tapait sur un tambourin et chantait une chanson du folklore populaire.
- Je vais voir ce qui se passe, dit le roi.
Il frappa à la porte. Le jeune garçon interrompit sa musique et vint répondre.
- Nous sommes des marchands et nous cherchons un endroit pour dormir. Nous avons entendu la musique, nous avons vu que vous n’étiez pas couchés et nous aimerions savoir si nous pouvons passer la nuit ici.
- Vous trouverez abri dans un hôtel de la ville, Messieurs. Malheureusement nous ne pouvons pas vous aider ; malgré la musique, cette maison est pleine de souffrance et de tristesse.
- Et pouvons-nous savoir pourquoi ?
- C’est ma faute – c’était le vieux dans la chaise roulante qui parlait. Toute ma vie, j’ai voulu éduquer mon fils pour qu’il apprenne la calligraphie et devienne un des scribes du palais. Mais les années passaient et les nouvelles inscriptions pour cette charge n’étaient jamais ouvertes. Et puis cette nuit, j’ai fait un rêve stupide : un ange apparaissait et il me demandait d’acheter une coupe en argent, parce que le roi allait me rendre visite, boire un peu dans cette coupe, et trouver un emploi pour mon fils. La présence de l’ange était si convaincante que j’ai décidé de faire ce qu’il avait dit. Comme nous n’avons pas d’argent, ma belle-fille est allée ce matin au marché, elle a vendu ses cheveux, et nous avons acheté la coupe qui est là devant vous. Maintenant ils essaient de me faire plaisir, ils chantent et ils dansent parce que c’est Noël, mais c’est inutile.
Le roi vit la coupe en argent, se fit servir un peu d’eau parce qu’il avait soif et, avant de partir, déclara à la famille :
- Quelle coïncidence ! Nous étions aujourd’hui avec le Premier ministre et il nous a dit que les inscriptions pour un nouveau poste seraient ouvertes la semaine prochaine.
Le vieux hocha la tête, ne croyant pas vraiment ce qu’il entendait, et prit congé des étrangers. Mais le lendemain, une proclamation royale fut lue dans toutes les rues de la ville : on cherchait un nouveau scribe pour la cour. Le jour fixé, la salle des audiences était pleine de gens désireux de concourir pour le poste tant convoité. Le Premier ministre entra, demanda à tous de préparer leurs blocs et leurs porte-plume :
- Voici le sujet de dissertation : pourquoi un vieil homme pleure-t-il près d’une femme chauve qui danse et d’un garçon triste qui chante ?
Un murmure d’étonnement parcourut la salle : personne ne savait raconter une histoire comme celle-là ! Excepté un jeune garçon vêtu humblement, dans un coin de la salle, qui fit un large sourire et commença à écrire.
Paulo Coelho
(basé sur un conte indien)
votre commentaire -
Par PRALINES1 le 1 Mai 2010 à 11:10
Le vieil homme et le chien
(Conte des temps modernes)Transparent au regard des passants trop pressés,
Un vieil homme est assis, transi et affamé,
Sous un porche à l’abri des frimas de janvier.
Il implore un sourire, une pièce de monnaie. Passe un chien dans la rue, un chien de pedigree,
Une voiture suit, heurte le canidé.
Aussitôt extirpés de leurs logis douillets
Accourent de partout des bourgeois empressés.« Ne le laissez pas là, amenez-le chez moi
J’ai une couverture afin qu’il n’ait pas froid ! »
Quelques instants après, l’animal est pansé,
Dorloté, réchauffé, maintes fois caressé.Au dehors dans la rue le silence est tombé
Tout le monde est rentré, a fermé ses volets.
Sous son porche à l’abri des frimas de janvier
Le vieil homme soudain s’est mis à aboyer.Daniel Boy
In des Rimes et des rames
Editions de la voûte
votre commentaire -
Par PRALINES1 le 1 Mai 2010 à 10:49
CONTE AFRICAIN par Antoine LANG
l’arbre qui voulait rester nu
Il était une fois un arbre. Au beau milieu d’un verger, il était sorti de terre, petite pousse verte et fragile se confondant avec les herbes alentours. Curieux de tout, il regarda bien vite le monde qui l’entourait, les fleurs qui s’ouvraient le matin et se refermaient le soir, les oiseaux qui sifflaient en sautant de branche en branche, le paysan qui venait tôt le matin cueillir les fruits des arbres, les graminées qui ondulaient sous la caresse des vents...
Ah !, il le trouvait beau ce monde autour de lui, il avait envie lui aussi de participer à cette beauté, de trouver sa place dans cette harmonie.
Une année s’écoula et, ayant grandi, il était devenu un petit rameau portant quelques tiges. Il se rendit compte qu’il n’était pas un brin d’herbe comme il l’avait crû tout d’abord, mais un arbre et se mit à observer plus attentivement ses aînés.
Il les trouvait si grands, si beaux recouverts de leurs feuilles et de leurs fleurs ; il fût si émerveillé de voir toutes ces fleurs se transformer en fruits, il fût si attendri des soins attentifs que leur apportait le paysan, mais...
Mais, se regardant, il s’aperçut que son écorce ne ressemblait à aucune de celles qui les habillait, que ses branches n’avaient pas la même forme que les leurs. Alors, il eût peur, peur de n’être pas assez grand, peur de n’être pas assez beau, peur de ne pas porter assez de fruits, il eût peur que les autres, pommiers, poiriers, mirabelliers... n’acceptent pas sa différence et il décida de ne produire ni feuille, ni fleur, ni fruit.
C’est ainsi que les années passèrent, à chaque printemps, son tronc s’épaississait, s’allongeait, de nouvelles branches poussaient, mais... ni feuille, ni fleur, ni fruit.
Pour ne pas se trouver nu face aux autres, il s’était depuis son jeune âge laissé peu à peu recouvrir par un lierre grimpant, par des liserons et par des bouquets de gui : ne sachant à quoi il pourrait ressembler, il se couvrait d’une beauté qui n’était pas la sienne.
Le jardinier plus d’une fois projeta de le couper pour en faire du bois de chauffage, mais trop occupé par ailleurs, il remit chaque fois cette tâche à plus tard. Un matin pourtant il vint, armé d’une grande hache et commença par couper le lierre qui enserrait l’arbre. Du lierre, il y en avait tellement que cela lui prit toute la journée et qu’une fois de plus, il remit l’abattage à plus tard. Cette nuit là, un petit ver parasite piqua le liseron qui en mourut aussitôt et le lendemain, les oiseaux du ciel apercevant le gui vinrent le picorer.
Il ne restait plus de l’arbre au milieu du verger qu’un tronc et des branches : il ne restait plus que l’arbre au milieu du verger.
S’apercevant soudain de sa nudité et ne sachant par quel artifice la couvrir, il se décida enfin à laisser pousser tout au long de ses branches de belles petites feuilles d’un vert tendre, à laisser éclore au bout de chaque rameau de mignonnes petites fleurs blanches contrastant joliment avec le brun de la ramure et le vert du feuillage
Le paysan sur ces entrefaites revint avec sa hache et découvrant à la place du tronc inutile un magnifique cerisier, ne trouva plus aucune raison de le couper. Il le laissa donc, trop heureux du miracle qui s’était produit.
Depuis ce jour, l’arbre vit heureux au milieu du verger, il n’est pas comme les autres, ni plus beau, ni plus grand, mais tout aussi utile. Il a compris que ni la texture de l’écorce, ni le tracé des branches, ni la forme des feuilles, ni la couleur des fleurs n’ont d’importance : seuls importent les fruits qu’il porte et que nul autre que lui ne peut porter.
Aussi, tous les ans, à la belle saison, les enfants du paysan viennent avec une échelle et, s’éparpillant dans sa ramure, se gavent de ses fruits et le réjouissent par leurs rires.
N’ayons pas peur des fruits que nous pourrions porter, car nul autre ne pourra les porter pour nous, mais chacun pourra s’en nourrir. N’ayons pas peur des fruits que nous pourrions porter.
Car chaque fois que nous les refuserons, il manquera quelque-chose dans le monde ; n’ayons pas peur des fruits que nous pourrions porter, car chacun d’eux permettra de faire grandir la Vie et l’Amour que Dieu nous a donnés.
votre commentaire -
Par PRALINES1 le 29 Avril 2010 à 18:46
tré belle histoire:
Il était une fois... un garçon qui naquit malade.
D'une maladie qui n'avait pas de cure.
Il avait 17 ans et pouvait mourir à n'importe quel moment.
Il vivait toujours chez sa mère sous l'attention de cette derniè
C'était dur et il décida de partir seulement pour une fois.
Il demanda la permission à sa mère qui la lui donna.
En marchant dans son quartier, il vit beaucoup de boutiques.
En passant devant un magasin de musique et en regardant
la vitrine, il nota la présence d'une fille très tendre de son âge.
Ce fut le coup de foudre.
Il ouvrit la porte et entra en ne regardant qu'elle.
En s'approchant peu à peu, il arriva au comptoir où elle se trouvait.
Elle le regarda et lui demanda en souriant :
Je peux t'aider?"
Il pensa que c'était le sourire le plus beau qu'il avait
vu de toute sa vie.
Il sentit le désir de l'embrasser en ce même instant.
Il lui dit en bégayant :
Oui, heeeuuu,... J'aimerais acheter un CD"
Sans réfléchir, il prit le premier qu'il vit et lui donna l'argent.
"Tu veux que je te l'emballe ?" demanda la fille en souriant de nouveau.
Il répondit que oui, en bougeant la tête, et elle alla
dans l arrière-boutique pour revenir avec le paquet emballé et le lui remettre.
Il le prit et sortit du magasin.
Il s'en alla à sa maison, et depuis ce jour, il alla au magasin tous les
jours pour acheter un CD.
Elle les lui emballait toujours, pour qu'ensuite il les emporte à sa
maison et les range dans son armoire.
Il était trop timide pour l'inviter à sortir, et, même s'il essayait, il n'y arrivait pas.
Sa mère fut mise au courant de cela et tenta de l'encourager à
s'aventurer, de sorte que le jour suivant, il s'arma de
courage et se dirigea au magasin.
Comme tous les autres jours, il acheta une fois de plus
un CD et comme toujours, elle s'en alla derrière pour l'emballer.
Elle prit donc le CD et pendant qu'elle l'emballait, il laissa
rapidement son numéro de téléphone sur le comptoir et
s'en alla en courant du magasin.
Le lendemain,
Drringggg!!! > Sa mère répondit: "Allô?", c'était la
fille qui demandait .
pour son fils et la mère, inconsolable,
commença à pleurer pendant qu'elle disait :
"Quoi, tu ne sais pas ?. Il est mort hier".
Il y eut un silence prolongé, excepté les lamentations de la mère.
Plus tard, la maman entra dans la chambre de son fils
pour se rappeler de lui.
Elle décida de commencer par regarder ses vêtements de
sorte qu'elle ouvrit son armoire.
Elle eut la surprise de se heurter à des montagnes de CD emballés.
Aucun n'était ouvert.
Le fait de voir autant de CD la rendit curieuse et elle ne résista pas :
elle prit un CD et s'assit sur le lit pour l'ouvrir ;
en faisant cela, un petit bout de papier tomba de la boîte plastique.
La maman le rattrapa et le lut, il disait :
Salut!!! T'es super mignon, tu veux sortir avec moi ?". Sofia.
Avec beaucoup d'émotion, la mère ouvrit un autre CD,
encore d'autres et
dans plusieurs se trouvaient des bouts de papier qui disaient
la même chose .
votre commentaire -
Par PRALINES1 le 29 Avril 2010 à 18:09=> Histoire émouvante <=
Mon nom est Sarah
J'ai 3 ans
Mes yeux sont enflés
je ne peux pas voir,
Je dois être bête
je dois être méchante,
Quoi d'autre aurait pu mettre
mon père dans un tel état?
je souhaiterais être meilleure
je souhaiterais être moins moche
alors peut-être que ma mère voudrait toujours me faire des câlins.
je ne peux pas parler
Je ne peux pas faire de bêtises
Sinon je suis enfermée toute la journée.
Quand je me réveille je suis toute seule
La maison est noire
Mes parents ne sont pas chez moi.
Quand ma mère vient
J'essaye d'être gentille,
sinon j'aurais peut-être
un coup de fouet ce soir.
Ne fais pas de bruit!
Je viens juste d'entendre une voiture
mon père revient
du bar de Charlie.
Je l'entends jurer
Il m'appelle
Je me serre contre le mur.
J'essaye de me cacher
de ses yeux démoniaques
J'ai tellement peur maintenant
Je commence à pleurer.
Il me trouve en train de pleurer
Il me lance des mots méchants,
Il dit que c'est de ma faute
Qu'il souffre au travail.
Il me claque et me tape
et me crie dessus encore plus,
je me libère enfin
et je cours jusqu'à la porte.
Il l'a déjà fermé
Je me mets en boule,
Il me prend et me lance
contre le mur.
Je tombe par terre
avec mes os presque cassés,
et ma journée continue
avec des méchancetés dites...
"Je suis désolée!", je crie
Mais c'est déjà beaucoup trop tard
Son visage a tourné
Dans une haine inimaginable.
Le mal et les blessures
encore et encore
Mon dieu s'il te plait, aie pitié!
fais que ça s'arrête s'il te plait!
et enfin il arrête
et va vers la porte,
pendant que je suis allongée,
immobile par terre.
Mon nom est Sarah
J'ai 3 ans,
ce soir mon père m'a tué...
METTEZ DANS VOTRE BLOG
L'histoire de Sarah
Il existe des millions d'enfants qui comme Sarah se font tués.
Et tu peux les aider.
dégoute moi jusqu'au plus profond de moi
si tu lis ça et que tu ne le fais pas passer, je prie pour toi,
parce que tu
dois être une personne sans coeur pour ne pas être affectée par
cette histoire
Et parce que tu as été touché, fais quelque chose!! Tout ce
que je te
demande, c'est d'envoyer ça et de reconnaitre que ces choses
arrivent, et
que des gens comme le père de Sarah vivent dans notre société.
Fais suivre cette histoire parce que même si ça paraît fou, ça peut
peut-être
changer indirectemment nos vies. Hey, tu sais jamais.
s'il te plait fais suivre ça si tu es contre
l'abus des enfants
votre commentaire -
-
Par PRALINES1 le 29 Avril 2010 à 00:24Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les secrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait son temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pitoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par la. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Des qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit. Or tout ce qu'il vit, fut... un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.
L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. " Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager. " commenta-t-elle.
votre commentaire -
Par PRALINES1 le 28 Avril 2010 à 23:27
TRÈS BELLE HISTOIRE...
Histoire magnifique prenez le temps de la lire et de bien
la comprendre surtout
CECI EST UNE HISTOIRE VRAIE ET VRAIMENT BELLE!
Une belle petite fille enjouée avec des boucles blondes de
presque 5 ans, en attendant avec sa maman près de la caisse,
aperçoit:
Un collier de perles toutes brillantes en nacre dans une boite en
aluminium rose!
'Oh s'il te plait, maman, est-ce que je peux les avoir? Maman je
t'en supplie, s'il te plait?'
Vivement la maman regarda à l'arrière de la boite rose et se
tourna vers ces petits yeux bleus qui lui suppliaient avec sa petite
frimousse tournée vers le haut.
'$1.85. C'est presque 2 dollars. Tu sais, si tu les veux
vraiment, tu peux faire des choses extra à la maison et en un rien de
temps tu auras assez d'argent pour les acheter toi-même. Et ton
anniversaire est seulement dans une semaine, tu auras surement des sous de ta
grand-maman aussi.'
Aussitot que Jenny retourna à la maison, elle vida sa petite
tirelire en forme de cochon..elle calcule 17 cents. Après le
diner, elle a fait plus que demander pour aider à la maison et ensuite
elle a été chez la voisine Mme. Mc James en lui demandant si elle
pouvait arracher ses mauvaises herbes pour 10 cents?
À son anniversaire, sa grand maman lui donna un autre dollar et
enfin elle avait assez d'argent pour s'acheter le collier.
Oh, Jenny adorait ses perles. Ça la faisait sentir madame et
grande fille. Elle les portait partout à l'église le dimanche, à la
garderie, même au lit!
Les seules fois qu'elles les enlevaient c'était pour nager ou
prendre un bain. Car sa maman lui avait dit que si elles étaient
trempées, elles tourneraient peut-être son cou vert.
Jenny avait un père qui l'aimait beaucoup et à chaque soir quand
il était temps de la mettre au dodo, il arrêtait tout ce qu'il
faisait pour aller lui raconter une belle histoire.
Un soir, après avoir terminé son histoire, il demanda a Jenny,
'Est-ce que tu m'aimes?'
'Oh que oui papa, tu le sais que je t'aime'
'Alors, donne-moi tes perles.'
' Oh, papa, pas mes perles. Mais tu peux avoir ma Princesse- le
cheval blanc de ma collection. Celle avec la queue rose.
Tu te souviens papa? C'est toi qui me l'a offerte. C'est ma
préférée.'
'C'est ok, ma puce. Papa t'aime. Bonne nuit' Et comme toujours
lui effleura la joue avec un bécot.
Environ une semaine plus tard, après le conte du soir, le papa
de Jenny lui demanda encore, 'Est-ce que tu m'aimes?'
'Papa , tu sais que je t'aime'
'Alors, donne-moi tes perles.' 'Oh papa, pas mes perles. Mais tu
sais tu peux avoir ma poupée, la nouvelle, elle est toute neuve,
celle que j'ai recue pour mon anniversaire, elle est si belle et
tu peux même avoir la petite couverture jaune qui est appareillée à
ses souliers.'
'C'est ok. Dors bien. Que Dieu te bénisse, ma puce. Papa
t'aime.' Et comme toujours, il lui carressa la joue tendrement avec un
bécot.
Quelques soirs passèrent, et un soir quand son papa est entré dans
la chambre, Jenny était assise comme une indienne au pied du lit.
Comme il s'approchait d'elle, il remarqua son petit menton tout
tremblant et une larme silencieuse qui coulait sur sa petite joue.
'Mais qu'as-tu Jenny? Quest-ce qui se passe?' Jenny ne dit rien
mais leva ses petites mains menues vers son papa. Et quand elle les
ouvra, le collier de perles y était. Avec une voix tremblante
elle lui dit,
'Voilà papa, c'est pour toi.'
Avec ses propres larmes qui coulaient sur son visage, le gentil
papa de Jenny pris les fausses perles d'une main et de l'autre sorti
de sa poche, un étui en velours bleu avec un collier en perles
véritables et lui donna.
Il les avaient depuis le début. Il attendait seulement qu'elle
lui donne les fausses perles pour qu'il puisse lui donner le
vrai trésor.
Comme Dieu, il attend de nous qu'on lui donne les choses fausses
à quoi on tient dans notre vie, pour les remplaçer par un trésor
magnifique.
Tenez-vous à quelque chose que Dieu veut que vous vous
débarassiez?
Avez-vous des compagnons qui ne sont pas nécessaire et vous font
mal? Des habitudes, des activitées, auxquelles vous êtes si habitué et
attaché qu'il semble impossible de se débarrasser?
Parfois c'est difficile de voir ce que l'autre main retient,
mais croyez en une chose....*
*Dieu ne prendra jamais quelque chose à quoi vous tenez sans le
remplacer par quelque chose de mieux!
Les plus beaux cadeaux arrivent, quand vous partagez l'amour et
que vous touchez les autres au coeur.*
votre commentaire -
Par PRALINES1 le 28 Avril 2010 à 23:07
Deux amants sont devenus des arbres
Pour avoir oublié le temps
Leurs pieds ont poussé dans la terre
Leurs bras sont devenus des branches
Ce sont leurs pensées emmêlées
La pluie ni le vent ni le gel
Ne pourront pas les séparer
Ils ne forment qu’un seul tronc
Dur et veiné comme du marbre
Et sur leurs bouches réunies
Le chèvrefeuille a fait son nid
Marcel Réalu 1908 - 1993
Un jour, une ouverture apparut dans un cocon. Un homme s'assit et regarda le papillon naissant se battre pendant des heures pour crever son abri et forcer le petit trou à s'agrandir.
Mais bientôt il sembla à l'homme que l'insecte ne progressait plus. Il était allé aussi loin qu'il avait pu mais il ne bougeait plus. Alors l'homme prit une paire de ciseaux et découpa délicatement le cocon pour aider le papillon à sortir. Celui-ci émergea facilement.
Mais il avait un corps chétif et ses ailes froissées étaient atrophiées. “Pas grave, il va se développer” se dit l'homme et il continua à regarder le papillon en espérant qu'il déploie ses ailes pour voler. Mais cela n'arriva jamais. Le papillon passa le reste de sa vie à ramper sur son petit corps, incapable d'utiliser ses ailes rabougries.
Ce que l'homme, dans sa bonté précipitée, n'avait pas compris, c'est que le cocon trop serré est une ruse de la Nature pour forcer le papillon à le percer et à entraîner ses ailes… A cette condition seulement, il peut voler. Parfois, nos angoisses, nos échecs, nos coups durs sont précisément ce dont on a besoin.
Si la nature permettait qu'on avance dans la vie sans jamais rencontrer aucun obstacle, cela nous affaiblirait, nous serions semblables à ce papillon trop vite naît à qui la facilité a coupé les ailes.
Moralité : la liberté est chèrement acquise… Mais on ne vole pas sans s'entraîner un minimum !
2 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique